jeudi 7 avril 2011

Conclusion


Ruban du don d'organe
En conclusion, nous avons appris beaucoup sur ce travail. Certains points nous ont plus impressionnés que d’autres. Premièrement, nous avons pris conscience qu’au Canada si une transplantation illégale est faite, c’est nous qui devons payer les frais des complications qui peuvent s’en suivre. On peut comprendre pourquoi nous avons été choquées de cette nouvelle. Aussi, il y a beaucoup de règles à suivre qui sont malheureusement souvent contournées. Le trafic d’organes se pratique en majeur parti dans des pays plus démunis. Donc pour nous à certains moments donnés, il a été difficile de trouver des informations sur le trafic d’organes au Canada. Finalement, dans ce travail nous avons appris à faire des recherches sous un nouvel œil par exemple lorsque nous pensons que le sujet est épuisé, il est encore possible de trouver des informations en utilisant d’autres mots pour aller plus loin dans nos recherches.
Nous avons apprécié travailler sur ce sujet, car nous retirons beaucoup de connaissances. Ce n’est pas un sujet dont nous aurions parlé naturellement, mais ouvrir nos horizons a été très bénéfique et divertissant.

Source de l'image: http://www.google.ca/imgres?imgurl=http://uploads.rncmedia.ca/sitefiles/cfem.ca/ruban%2520DONS%2520D%27ORGANE.jpg&imgrefurl=http://www.cfem.ca/articles/20110214153445/rein_cadeau.html&usg=__2NvsoVNCqD-JNExN_DypFFaUWZ0=&h=330&w=260&sz=25&hl=fr&start=124&zoom=1&tbnid=Og5ki_Ig1B55uM:&tbnh=115&tbnw=97&ei=wFaeTY-oBMbEgQer2pzkDw&prev=/search%3Fq%3Dorgane%26um%3D1%26hl%3Dfr%26rlz%3D1R2ACAW_fr%26biw%3D1345%26bih%3D527%26tbm%3Disch0%2C2310&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=408&vpy=69&dur=942&hovh=253&hovw=199&tx=87&ty=144&oei=jlaeTf7UJ5C40QGp_IijBQ&page=6&ndsp=24&ved=1t:429,r:18,s:124&biw=1345&bih=527

Les Repreneurs.

Un film très intéressant à voir et qui montre le trafic d’organes d’une manière peu orthodoxe est le film « Repreneurs » par Miguel Sapochnik. Cette histoire se déroule dans le futur où le don d’organe n’est plus du tout un problème à cause du développement biotechnologique. Le coût de la greffe est toujours aussi élevé par contre. L’Union qui gère ce monopole n’est pas vraiment des plus sympathiques comme l’on pense. Car lorsque les personnes qui ont été greffés ne remboursent pas leur dette, les agents donc les repreneurs sont envoyés et leur mission est de reprendre les organes greffés des mauvais payeurs en toute légalité. Le personnage principal ce voit dans l’obligeance d’aller acquérir un faux cœur et il comprend assez rapidement l’effroi d’avoir à fuir pour demeurer en vie.
Si la société se rend à ce point, alors la vie humaine va être très précieuse. Pour l’instant tout cela nous parait peu vraisemblable, mais surement quelqu’un à quelque part a déjà pensé à faire des organes artificiels. Le point qui est le plus déplaisant est lorsque les repreneurs vont chercher les organes des greffés qui ne paye pas de manière assez brutale. Alors je vous suggère de louer ce film, car je l’ai bien apprécié et qu’on peut voir la transplantation d’organes d’un autre angle de vue.

Le transport.

Le trafic d’organes a évidemment commencé lorsqu’une pénurie d’organes c’est fait remarquer. Les criminels ont commencé à détourner les règles et les procédures pour toutes les étapes de la transplantation. Une des étapes la plus facile à contourner est le transport. « […] Les échanges d'organes transfrontaliers existent mais, en raison de ces divergences, sont très limités.[…] l'objectif de la Commission est d'augmenter le nombre de dons d'organes et de renforcer les échanges transfrontaliers au sein de l'Union européenne. » Donc comme il est possible de lire dans l’extrait de l’article, les règles sont là, mais elles sont très facilement contournable malheureusement. Pour être transportés, ils doivent suivre les directives suivantes :
« - le transport des organes doit s'effectuer de telle manière que l'intégrité de l'organe soit garantie et la durée du transport réduite au maximum. De plus, un étiquetage mentionnant un certain nombre d'informations utiles est exigé sur les conteneurs utilisés pour le transport d'organes ; »
Pour être en mesure de voir le nombre d’organes transplantés frauduleusement, des règles plus strictes devront être mises en place. De plus, le don d’organe doit être plus élevé pour répondre à la grande demande. Il n’en restera pas moins qu’il est aisé de manipuler le transport.
 

vendredi 1 avril 2011

Avez-vous vu le film Hostel ?

Attention au cœur sensible ce film n’est pas fait pour être vu de tous. Ce film raconte l’histoire de jeunes partis dans en vacances pour faire la fête et tentants de multiplier les aventures sexuelles  Suite a une invitation de jeunes femmes, ils se retrouvent pris dans un piège. Après plusieurs jours de fêtes, ils commencent  à se rendre compte, qu’ils sont dans un endroit assez peu commun. En fait, c’étais un endroit de torture, moyennant une grosse somme, il était possible de torture, à sa guise,  une personne de notre choix.  Avec tout un choix d’outil et une discrétion sans égale. Ce genre de fantasme fait également parti d’un trafic humain, peut-être pas d’organes, mais de personnes. Mais est-ce vraiment possible ? Bien que cette idée nous semble toutes les deux  inconcevable, d’enlever, torturer et faire disparaitre des touristes, nous nous demandions si c’étais possible que ce genre d’endroit existe. Si c’était bien réel, ce serait probablement le plus grand centre de psychopathes au monde, mais comment feraient-ils pour tenir sous silence ce genre d’endroit. Aussi, il serait possible que dans certains pays où il existe moins de lois ou d’autorité, ce trafic humain existe vraiment. Bien que tout soit possible, ce genre de torture doit être fait par des monstres, nous pensons que c’est très peut probable qu’un pays ou une région puisse endurer ce genre de trafic, car c’est bien pire que celui d’organe.

Trafic d'organe, 2 facettes

Lorsque nous comparons les 2 derniers articles, nous pouvons en conclure qu’il y a un énorme dilemme personnel  qui s’impose. D’un coté l’attente est tellement longue qu’il arrive trop souvent de mourir avant de recevoir le don si attendu qu’il semble que c’est la dernière solution possible que d’acheter un organe sur le marché noir. De l’autre coté, pensé que peut-être, aucune règle de salubrité et de protection n’auront été appliqué durant le processus  qui nous mène à l’opération est peut-être suffisant pour ne pas encourager  ce type de trafique. Ces solutions ne sont pas non plus accessibles à tous, car elles moyennent des sommes astronomiques. Seriez-vous capable de payer plusieurs dizaines de milliers de dollars, pour recevoir un organe. C’est en conclure, que ce n’est accessible que pour les plus fortunés. Pour notre part, nous ne pouvons pas trancher d’un côté plus que de l’autre, car si une de nous deux aurait besoin d’un don d’organes nous ne saurions quoi décider. Il y a autant de pour que de contre. Quel serait votre décision ?

La qualité et la sécurité des organes

Pour chaque pays, il existe tout un système de normes qui doivent être respecté, pour un transfert d’organes. Ces normes ont été établies pour la sécurité du donneur comme du receveur. Voici les normes principales qui nous intéressent pour l’Europe. Pour la protection et la qualité des organes, il est important que l’opération soit effectuée dans une clinique ou hôpital ayant l’organisation adéquat  pour ce faire. Un formulaire sur le donneur, long de 4 pages, doit être rempli avec toutes les informations médicales utiles pour la sécurité du receveur. Le transport doit s’effectuer selon des normes pour conserver l’organe et éliminer tout risque de contamination ou de perte.  La transplantation doit s’effectuer dans un centre de transplantation agrée par l’autorité nationale compétente qui détermine  les actions que le centre est autorisé à poser. Aussi, tout le personnel qui touche de près ou de loin au processus doivent  être qualifié et formé à ces fins. Si en Europe, il faut respecter autant de points pour la qualité et la sécurité des organes, c’est que c’est vraiment nécessaire.  Une transplantation n’est jamais à prendre à la légère, les risques sont énormes, c’est de notre vie qu’il en dépend.

Comme mentionné dans l’article "le temps est long", il peut parfois nous sembler que c’est une question de survie que de se tourner vers le commerce illégale. Par contre, seriez-vous près à mettre votre vie dans les mains d’un trafiquant? Qu’est-ce que vous prouve que l’organe provient de quelqu’un en santé ou de quelqu’un qui est réellement compatible avec vous? Rien, on parle d’un trafiquant à même titre que celui de cocaïne ou tous autres produits illégaux. D’après nous, il est illogique de mètre sa vie et sa confiance dans les mains de criminels. Il n’y a pas que la provenance des organes, puisque c’est illégal et condamné par beaucoup de pays, ce sont des opérations clandestines. L’opération ne peut donc pas être effectuer dans un centre de transplantation, c’est souvent fait dans des maisons adapter pour ce type d’opération, mais il est impossible qu’ils disposent de tout l’équipement nécessaire à ce type de transplantation.

Le temps est long


Pour beaucoup de gens au pays le temps est compté, chaque jour, chaque heure, chaque seconde. C’est trop souvent le cas, pour les nombreux patients en attente sur les listes, pour un don d’organe. Les listes sont très longues et les donneurs se font rares ou ne sont souvent pas admissible, il ne faut pas être trop gros, pas malade, il faut être compatible et  il faut être décédé depuis un temps maximum… Bref, il y a énormément de conditions à remplir pour qu’un organe puisse être transplanté et une fois que c’est fait, rien ne garanti que ça va marcher.  Si l’on vous offrait de passer devant la liste d’attente, moyennant 100 000$, en allant en Inde ou ailleurs, et que quelqu’un vous rendrait le processus beaucoup plus facile, que diriez-vous ? Surtout si vous saviez que la personne de qui provient le don à besoin de l’argent et qu’il aurait en retour.  Selon Frank Markel, du Réseau Trillium pour le don de vie, une personne tous les 3 jours décède, en attente d’un don d’organe. De plus, seulement en Ontario, il y aurait présentement environ 1650 personnes qui sont en attente pour recevoir une greffe. L’attente peut être interminable.  Si nous regardons la chose sous cette angle seulement, ça nous donne envi de croire que ça pourrait presque être une bonne chose.

Le Dr. Horreur

Les transplantations illégales d’organes humains en font frémir plus d’un. On pense souvent à tord que ce genre d’horreur  se passe toujours loin de nous. Le Canada a pourtant été cité en 2008 à cause d’un citoyen canadien, plus précisément de Brampton en Ontario, qui à été accusé de ce genre de trafic. Les médias Indiens ont surnommé Amit Kumar, chirurgien, Dr Horreur. Il serait soupçonné d’être à la tête d’un réseau de trafic d’organes humains en Inde. Dans ce pays, il serait accusé d’avoir fait plus de 500 transplantations illégales, durant les 8 dernières années. Malgré les accusations, il continuerait de clamer son innocence. Par contre, d’après les policiers, il aurait avoué avoir participé à environs 300 transplantations. Comment peut-il se dire innocent  et avouer en même temps ?  Nous sommes également surpris d’avoir vu le canada cité comme preneur de certains organes transplanté par le Dr Horreur .


mercredi 30 mars 2011

Pas de sanction

Il est possible au Canada de faire un don d’organe à une personne même si celle-ci n’a pas de lien de famille, donc altruiste. Il faut que le choix soit fait de manière libre et éclairé sans pression de qui que ce soit. L’échange d’argent rend évidemment le processus illégal. Il n’y a pas de sanctions pour ces transactions. Pour essayer de contrôler les transplantations, des membres de comités sont responsables de décider si ceux-ci peuvent aller de l’avant ou non, par exemple des travailleurs sociaux, des médecins et des citoyens. Ils se décrivent comme des détectives qui doivent faire l’enquête sur les liens de parenté. Il faut par contre comprendre que ces gens n’ont pas plus de pouvoir qu’il ne le faut pour obtenir des renseignements personnels sur les personnes impliquées. Il existe des lois, mais pas de sanctions. Et encore maintenant, il y a des flous juridiques sur le don d’organes entre vivants.
Même dans un pays où les progrès médicaux sont avancés, il est possible encore de rencontrer des gens peu scrupuleux qui désirent faire de l’argent rapidement en vendant une partie de leur corps.

Un réseau de démantelé.

Voilà 10 ans que les autorités essayaient de démanteler un réseau de trafic d’organes. Un réseau entre l’État du New Jersey aux États-Unis, l’Israël et la Suisse viennent d’être arrêtés. Environ une trentaine de maires et plus de 15 autres membres dont 5 rabbins religieux peu scrupuleux se sont vu arrêter. Ils ont été accusés de corruption, d’extorsion et de trafic d’organes, le tout bien sûr dissimulé. Un rabbin s’est fait appréhender pour blanchiment d’argent. Il profitait de la vulnérabilité de certaines personnes pour leur acheter leur rein au prix de 10 000 $. Ils les revendaient par la suite au prix de 160 000 $. Ces gens purgeront une peine d’emprisonnement de 5 à 20 ans et les autorités précisent que ces arrestations ne sont pas pour des raisons politiques étant donné les tensions dans le pays.
Il est incroyable de penser qu’une personne est peut-être quand même heureuse de recevoir une somme de 10 000 $ pour son rein, car elle se trouve dans une situation où elle en a besoin. Si seulement elle pouvait s’imaginer que son rein est vendu au prix de 160 000 $. Donc, une marge de profit pour le rabbin peu scrupuleux de 150 000 $. Il s’agit d’un réseau de trafic d’organes en moins sur le marché noir, mais évidemment il n’est pas le seul.

Source vidéo: http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=MlgOvHqYYPE

Prix d’organes en Chine.

Il s’agit d’un vrai business en Chine. Lorsqu’une transplantation est exécutée, il faut se dire que 90 % du temps les organes proviennent de prisonniers exécutés, devrais-je dire abattus à mort. Les documents sur l’autorisation des prisonniers sont maquillés alors il est très difficile de savoir la vérité. C’est au moment que leur cœur arrête de batte qu’ils sont envoyés en camionnettes jusqu’à l’hôpital. Les gens qui achètent ces organes sont prêts à payer cher pour avoir de ceux-ci. Pour ce marché véritable, on propose 62 000 $ pour un rein, 150 000 $ pour un poumon et même 30 000 $ pour une cornée. Les familles des détenus auraient supposément donné leur accord et évidemment quand on leur pose la question ils nient avoir donné quoi que ce soit.
La loi qui interdit la commercialisation d’organes humains en Chine va être renforcée. Les autorités ont reconnu le problème, mais ils ne pourront pas complètement abolir cette commercialisation, car la faute revient à quelques chirurgiens peu scrupuleux. En 2005 les chiffres pouvaient s’estimer à 3 741 foies, 8 103 reins et 80 cœurs qui auraient été transplantés.
Toutes les informations sont masquées et très peu d’informations peuvent être données. Il est intéressant de voir dans la vidéo la partie lorsque la personne va rencontrer un médecin pour avoir de l’information. On voit, très bien comment il est méfiant, et que rien n’est vraiment établi et que tout peut varier. Comment faire confiance à ces gens?
Source vidéo:  http://trafics-organes.vefblog.net/2.html
Source de la photo: http://www.google.ca/imgres?imgurl=http://s2.e-monsite.com/2010/04/23/75591844trafic-d-organes-jpg.jpg&imgrefurl=http://mamaso.e-monsite.com/rubrique,trafic,1189974.html&usg=__U1UwAak7Z7UAQySdYgponrp64B8=&h=430&w=310&sz=74&hl=fr&start=0&zoom=1&tbnid=o50-ixdWnG0XLM:&tbnh=119&tbnw=86&ei=u1ieTbTFBeay0QH62-mjBQ&prev=/images%3Fq%3Dtrafic%2Borgane%2Bchine%26um%3D1%26hl%3Dfr%26rlz%3D1R2ACAW_fr%26biw%3D1345%26bih%3D527%26tbm%3Disch&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=283&vpy=33&dur=1367&hovh=264&hovw=191&tx=129&ty=148&oei=u1ieTbTFBeay0QH62-mjBQ&page=1&ndsp=22&ved=1t:429,r:1,s:0

mercredi 23 mars 2011

Le trafic au Pakistan.

Au Pakistan, environ 40 % de la population ne gagne que 2euros par jour ce qui fait donc un salaire mensuel de 70euros. Dans ce pays, il n’y a pas de loi qui régit le trafic d’organe et donc cela devient de plus en plus à la mode. Pour les greffes de reins, il est possible d’en compter environ 15 000 par année, mais le chiffre est loin d’être réaliste. Les greffes illégales de son pas comptabilisé. Dans la vidéo, il est possible d’entendre l’histoire d’un homme qui s’est fait kidnapper lorsqu’il marchait dans la rue pour se rendre à son travail. Il a été kidnappé et opéré de force. Ces gens lui ont seulement proposé 75euros pour son rein. À son réveil, il lui manquait un rein. Il est également possible de voir qu’il a un côté de cassé et un poumon a été endommagé.
Il est malheureux de savoir que ce genre d’histoire est très commun vu la popularité de ce commerce. Il est possible que ces gens soient forcés ou qu’ils soient volontaires. Ce commerce est populaire à cause qu’il est plus rentable que le commerce de la prostitution, de la drogue et même des armes. Les gens qui sont choisis au hasard auront des séquelles pour le restant de leurs jours.


En Moladvie, de fausses promesses.

Il est possible de recenser des dizaines à des centaines de citoyens qui sont donneurs de reins par besoin. Il y a plusieurs histoires que gens qui se font proposer des sommes quand même incroyables pour leurs organes. Par exemple, un couple s’est fait proposer 10 000 $ chaque pour le don de leurs reins. Ils se font promettre qu’il n’y aura aucun problème de santé par la suite. Donc, le couple de Moldaves s’envole pour la Turquie où ils seront opérés illégalement. Chacun revient au pays l’un deux possédants la totalité de la somme promise et l’autre ayant 3 000 $ de moins que prévu, mais une voiture pour remplacer ceux-ci. Le beau frère de l’une des personnes a été aussi attiré par l’offre et accepte aussi de donner un organe. Ils lui proposent une somme de 12 600 $ pour son lobe de foie. Il part pour la Roumanie et à son retour, il reçoit 11 000 $ à la place plus une voiture. Même s’il a les poches pleines, il n’est pas certain de son état de santé, il va donc voir un médecin pour se faire dire qu’on lui avait retiré à son insu sa vésicule biliaire et qu’il n’y avait plus rien à faire.
C’est gens sont prêt à tout pour convaincre les gens et rien n’est garantie comme dans l’histoire ici que ces gens vont vraiment recevoir ce qui a été promis. Les gens dans ces pays sont attirés par l’argent, car dans plusieurs situations c’est ce qui manque dans leur vie de l’argent. Donc avec leurs belles promesses, ils attrapent ceux qui ont vraiment besoin d’argent et qui feraient tout pour cela. La santé est quelque chose de fragile et lorsque les opérations ne sont pas faites dans des places où la salubrité est un élément important, alors il arrive souvent des maladies et plus rien n’est possible, car le tout a été fait dans l’illégalité.

Y a-t-il une limite?

Le trafic d’organes a-t-il ses limites? Il est possible de trouver des offres douteuses sur des sites à la portée de tout le monde.
Il est possible de trouver une vente aux enchères d’un homme qui habite la Floride sur le site populaire Ebay. Il offrait aux gens de choisir le rein qu’il voulait et qu’il allait assumer tous les frais médicaux ainsi que de transplantation. Il a même spécifié que l’autre rein n’était pas à vendre, car il en avait besoin pour sa survie. Ebay a arrêté les enchères de ce rein et celui-ci était rendu à 5.7 millions US$.
Bien que l’auteur de cette annonce ait inscrit qu’il voulait des offres sérieuses, on peut se demander qui voudrait bien écrire de telles choses lorsque dans certain pays les victimes ne sont même pas au courant qu’ils vont se faire enlevées des organes. Le commerce s’étend partout et même sur l’internet. Dans l’article, il est possible de voir d’autres cas qui laissent aussi penser qu’on se moque de ce fléau.

Des vérités dissimulées au Kosovo.

Le Kosovo est un pays qui a vécu beaucoup de souffrances. Pourtant, il ne semble pas que ça va arrêter là.
Un rapport présenté le 16 décembre 2010 a été remis sur le trafic d’organes. Les victimes seraient des prisonniers de l’Armée de libération du Kosovo. La rumeur de ce trafic court depuis longtemps, mais depuis 2009 son existence a été confirmée. Le rapport comprend les informations sur le trafic. Plusieurs centaines de prisonniers capturés par l’UCK et des Albanais auraient été déportés en Albanie en 1998 et 1999. Ces gens ont été emprisonnés dans de petits centres de détentions. Ils étaient conduits à une clinique à plusieurs kilomètres de là. Des clients se manifestaient pour avoir des organes. Les prisonniers étaient donc abattus d’une balle dans la tête avant que les organes ne soient prélevés. Ces organes sont principalement les reins. Selon le rapport de M. Marty, il y aurait près de 500 personnes qui auraient été déportées en Albanie. Le rapport est cependant beaucoup critiqué et le Kosovo essaye de démentir celui-ci.
Il est certain qu’un pays avec un tel passé est sujet à de tels drames. Dans l’article il est même possible de comprendre que le ministre est probablement impliqué dans tout ce trafic qui dure depuis des années. C’est donc très choquant de voir les forces être mêlées dans tout cela. Quant à moi il est certain que les corps ne seront pas retrouvés et s’ils le sont, il va leur manquer quelques organes.

L’Égypte y aura-t-il une loi ?

En Égypte, une fois qu’une personne est décédée, son corps devient sacré. Il est donc interdit d’y prélevé un organe ou quoi que ce soit d’autre. C’est donc facile de comprendre pourquoi il y a un si gros trafic d’organes humains qui proviennent de personnes payées ou volé dans ce pays. Il ne serait même pas rare de trouver des organes en ventes dans les petites annonces. Le phénomène pourrait maintenant être mieux contrôlé grâce à une nouvelle loi qui aurait été instaurée au pays. Cette loi permettrait maintenant de prélever aux personnes décédées des organes nécessaires pour en sauver d’autres. Dans l’article d’où ces informations nous proviennent, il semblait y avoir une difficulté avec tout ce que cette nouvelle loi apporte comme complication. Il faudrait maintenant tenir un registre de tous ceux qui ont besoin d’un organe, leur priorité, il faudrait aussi s’assurer que les moins fortunés aient la chance tout autant que les gens les plus riches de ce pays. Bref, tout comme nous fessons déjà au Canada, ce concept ne semble pas compliqué pour nous, mais ça fait tellement longtemps que nous agissons ainsi qu’il est difficile de comprendre comment c’est difficile de commencer à zéro. Finalement, nous croyons que cette nouvelle loi contribuera à faire baisser le taux de trafic illégal dans ce pays.
Source: http://www.la-croix.com/Le-Parlement-egyptien-vote-une-loi-criminalisant-la-vente-d-/article/2418365/4077

Source de l'image: http://www.google.ca/imgres?imgurl=http://jssnews.com/wp-content/uploads/2010/04/organesyemen.jpg&imgrefurl=http://jssnews.com/2010/04/04/arrestation-dun-jordanien-pour-trafic-dorganges/&usg=__9_1mQZ2lnGbRps7BPusvZ609kQg=&h=293&w=466&sz=36&hl=fr&start=0&zoom=1&tbnid=Oq5-rkdnQH5CGM:&tbnh=98&tbnw=156&ei=g2KeTcqmDMbGgAe90ZDkDw&prev=/images%3Fq%3Dtrafic%2Borgane%2B%25C3%25A9gypte%26um%3D1%26hl%3Dfr%26rlz%3D1R2ACAW_fr%26biw%3D1345%26bih%3D527%26tbm%3Disch&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=103&vpy=74&dur=3710&hovh=178&hovw=283&tx=110&ty=106&oei=amKeTd2DLoa60QGTk7T7BA&page=1&ndsp=24&ved=1t:429,r:0,s:0

L’Égypte un pays gravement touché

L’Égypte fait partie des pays qui sont les plus touchés par le phénomène du trafic d’organes illégal, après la Chine, les Philippines et l’Inde. En Égypte, les pauvres vivants dans les bidons villes se font approcher par des gens qui sont appelés des  rabatteurs. Les rabatteurs sont des gens qui vont recruter dans les régions les plus pauvres des gens prêts à se départir d’un organe pour une petite somme qui leur semble nécessaire pour nourrir leurs familles. L’organe prélevé sera ensuite revendu pour environ 6 fois le prix payé, c’est une marge de profit extrêmement élevée.  Selon l’article, dans ce pays, 90% des 500 greffes effectués proviennent de gens qui auraient été payés. Il  est vrai qu’il est possible de vivre avec un seul rein par exemple, mais une fois endormi, qu’est-ce qui prouve au donateur que c’est le seul et unique organe qui lui sera enlevé, alors qu’il sera payé pour un seul. Cet article nous montre à quel point le problème est grave dans ce pays, mais également comment les donateurs sont sous-payés pour ce qu’ils offrent.

mercredi 9 mars 2011

Quelle est la place du Canada dans le trafic d’organe ?

Le 2 février 2008, un député libéral du nom de Borys Wrzesnewskyj à proposé de sanctionner tout citoyen canadien qui participe au trafic d’organes humains illégaux, que ce soit le donneur, le receveur ou le transplanteur. Que cette pratique soit faite ici ou outre-mer, les sanctions seraient les mêmes. Le receveur devra donc obtenir un certificat pour valider que l’organe reçu a été obtenu dans toute légalité, ce qui veut dire que le donneur ne devra pas avoir été payé ou forcé à faire ce don. En cas ou une personne n’aurait pas de certificat, il serait mis sous enquêtes et serait passible d’un minimum de 5 ans de prison allant jusqu'à la prison à vie. Même si la peine peut sembler sévère nous pensons qu’elle est vraiment juste. Il ne faut pas oublier une chose, lorsqu’une personne va en voyage dans le but de subir une greffe, c’est par la suite notre système de santé qui devra subvenir aux complications ou guérison de la personne. Finalement, c’est  nous qui paierons les frais de ces transplantations illégales.  Nous nous demandons donc pourquoi cet article date seulement de 2008, il nous semble que c’est quelque chose qui aurait dû être sanctionné depuis la découverte de ce problème.


Le trafic d’organes, c’est quoi ?

Premièrement, il serait important de définir ce qu’est exactement le trafic d’organes. D’après Wikipedia, c’est << l'exercice illégal du commerce d'organes>>, c’est le fait d’enlever, conserver puis vendre un organe qui a été pris, souvent sans le consentement du propriétaire ou moyennant des sommes d’argent. Ce sont généralement des réseaux non contrôlé par le gouvernement et dirigé par des mafieux. Ce type de trafic aurait vu le jour lorsque de riches Asiatiques sont allés entre autres en Inde pour acheter des organes aux plus pauvres, dans les années 1980. Par la suite, le phénomène s’est rependu partout dans le monde, que ce soit pour le prélèvement ou l’utilisation des organes volés. Il est assez fréquent que les organes soient prélevés à des pauvres qui veulent bien vendre un rein pour nourrir leur famille, ou encore des prisonniers ou de gens forcés sous la menace. Même si les risques encourus par ce type de trafic sont très grands, la demande ne cesse de croître et l’offre n’augmente pas plus rapidement, c’est donc un marché extrêmement lucratif.

mercredi 9 février 2011

Présentation

Bonjour, nous sommes deux étudiantes du collège Montmorency en Gestion de commerce pour la troisième année. Après avoir vu plusieurs personnes de notre entourage œuvrer dans le domaine des affaires, nous, Valérie et Émilie, avons choisi ce programme d’étude pour approfondir le peu de connaissances que nous avions déjà. A notre premier jour d’école, nous rêvions déjà de travailler dans une grande entreprise internationale.
Dans le cadre de notre cours « commercer dans un contexte de mondialisation » enseigné par Amélie Raymond, nous créons ce blog pour en apprendre un peu plus sur les transactions internationales. Nous en sommes à notre premier blog et nous espérons être capables de toucher un large public avec un sujet peu abordé et qui nous intéresse beaucoup. De plus, nous allons tester nos capacités de recherches et de communications écrites avec les prochains articles. Le sujet qui sera traité est le trafic d’organes. Il n’est pas fréquent d’entendre parler de ce sujet et c’est aussi une raison qui nous a poussés notre choix. Bien que ce soit des transactions illégales, ils en existent beaucoup, et ce, à travers beaucoup de pays. Avec ce sujet, nous comptons en apprendre plus sur la manière de faire des transactions légales ou pas, sur les lois de différents pays et peut-être sur la façon de régler ce fléau.
Nous souhaitons une bonne lecture en espérant ne pas trop vous choquer avec nos articles et photos.
Source de la photo: http://www.google.ca/imgres?imgurl=http://www.nauconsultants.com/blog/images/new%2520cata%2520images/rein.jpg&imgrefurl=http://www.nauconsultants.com/blog/index.php%3FVu-dans-l-actu-actualite-communication-entreprise/2007/05&usg=__4PXRZ7lyp0uxxAPQRN4hg-Sa7QA=&h=225&w=314&sz=16&hl=fr&start=0&zoom=1&tbnid=cu_xG4anP1s7CM:&tbnh=114&tbnw=161&ei=MGCeTa7WH9GG0QGXp9ifBQ&prev=/images%3Fq%3Dorgane%26um%3D1%26hl%3Dfr%26rlz%3D1R2ACAW_fr%26biw%3D1345%26bih%3D527%26tbm%3Disch0%2C337&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=629&vpy=18&dur=964&hovh=180&hovw=251&tx=130&ty=121&oei=MGCeTa7WH9GG0QGXp9ifBQ&page=1&ndsp=25&ved=1t:429,r:21,s:0&biw=1345&bih=527