jeudi 7 avril 2011

Conclusion


Ruban du don d'organe
En conclusion, nous avons appris beaucoup sur ce travail. Certains points nous ont plus impressionnés que d’autres. Premièrement, nous avons pris conscience qu’au Canada si une transplantation illégale est faite, c’est nous qui devons payer les frais des complications qui peuvent s’en suivre. On peut comprendre pourquoi nous avons été choquées de cette nouvelle. Aussi, il y a beaucoup de règles à suivre qui sont malheureusement souvent contournées. Le trafic d’organes se pratique en majeur parti dans des pays plus démunis. Donc pour nous à certains moments donnés, il a été difficile de trouver des informations sur le trafic d’organes au Canada. Finalement, dans ce travail nous avons appris à faire des recherches sous un nouvel œil par exemple lorsque nous pensons que le sujet est épuisé, il est encore possible de trouver des informations en utilisant d’autres mots pour aller plus loin dans nos recherches.
Nous avons apprécié travailler sur ce sujet, car nous retirons beaucoup de connaissances. Ce n’est pas un sujet dont nous aurions parlé naturellement, mais ouvrir nos horizons a été très bénéfique et divertissant.

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Les Repreneurs.

Un film très intéressant à voir et qui montre le trafic d’organes d’une manière peu orthodoxe est le film « Repreneurs » par Miguel Sapochnik. Cette histoire se déroule dans le futur où le don d’organe n’est plus du tout un problème à cause du développement biotechnologique. Le coût de la greffe est toujours aussi élevé par contre. L’Union qui gère ce monopole n’est pas vraiment des plus sympathiques comme l’on pense. Car lorsque les personnes qui ont été greffés ne remboursent pas leur dette, les agents donc les repreneurs sont envoyés et leur mission est de reprendre les organes greffés des mauvais payeurs en toute légalité. Le personnage principal ce voit dans l’obligeance d’aller acquérir un faux cœur et il comprend assez rapidement l’effroi d’avoir à fuir pour demeurer en vie.
Si la société se rend à ce point, alors la vie humaine va être très précieuse. Pour l’instant tout cela nous parait peu vraisemblable, mais surement quelqu’un à quelque part a déjà pensé à faire des organes artificiels. Le point qui est le plus déplaisant est lorsque les repreneurs vont chercher les organes des greffés qui ne paye pas de manière assez brutale. Alors je vous suggère de louer ce film, car je l’ai bien apprécié et qu’on peut voir la transplantation d’organes d’un autre angle de vue.

Le transport.

Le trafic d’organes a évidemment commencé lorsqu’une pénurie d’organes c’est fait remarquer. Les criminels ont commencé à détourner les règles et les procédures pour toutes les étapes de la transplantation. Une des étapes la plus facile à contourner est le transport. « […] Les échanges d'organes transfrontaliers existent mais, en raison de ces divergences, sont très limités.[…] l'objectif de la Commission est d'augmenter le nombre de dons d'organes et de renforcer les échanges transfrontaliers au sein de l'Union européenne. » Donc comme il est possible de lire dans l’extrait de l’article, les règles sont là, mais elles sont très facilement contournable malheureusement. Pour être transportés, ils doivent suivre les directives suivantes :
« - le transport des organes doit s'effectuer de telle manière que l'intégrité de l'organe soit garantie et la durée du transport réduite au maximum. De plus, un étiquetage mentionnant un certain nombre d'informations utiles est exigé sur les conteneurs utilisés pour le transport d'organes ; »
Pour être en mesure de voir le nombre d’organes transplantés frauduleusement, des règles plus strictes devront être mises en place. De plus, le don d’organe doit être plus élevé pour répondre à la grande demande. Il n’en restera pas moins qu’il est aisé de manipuler le transport.
 

vendredi 1 avril 2011

Avez-vous vu le film Hostel ?

Attention au cœur sensible ce film n’est pas fait pour être vu de tous. Ce film raconte l’histoire de jeunes partis dans en vacances pour faire la fête et tentants de multiplier les aventures sexuelles  Suite a une invitation de jeunes femmes, ils se retrouvent pris dans un piège. Après plusieurs jours de fêtes, ils commencent  à se rendre compte, qu’ils sont dans un endroit assez peu commun. En fait, c’étais un endroit de torture, moyennant une grosse somme, il était possible de torture, à sa guise,  une personne de notre choix.  Avec tout un choix d’outil et une discrétion sans égale. Ce genre de fantasme fait également parti d’un trafic humain, peut-être pas d’organes, mais de personnes. Mais est-ce vraiment possible ? Bien que cette idée nous semble toutes les deux  inconcevable, d’enlever, torturer et faire disparaitre des touristes, nous nous demandions si c’étais possible que ce genre d’endroit existe. Si c’était bien réel, ce serait probablement le plus grand centre de psychopathes au monde, mais comment feraient-ils pour tenir sous silence ce genre d’endroit. Aussi, il serait possible que dans certains pays où il existe moins de lois ou d’autorité, ce trafic humain existe vraiment. Bien que tout soit possible, ce genre de torture doit être fait par des monstres, nous pensons que c’est très peut probable qu’un pays ou une région puisse endurer ce genre de trafic, car c’est bien pire que celui d’organe.

Trafic d'organe, 2 facettes

Lorsque nous comparons les 2 derniers articles, nous pouvons en conclure qu’il y a un énorme dilemme personnel  qui s’impose. D’un coté l’attente est tellement longue qu’il arrive trop souvent de mourir avant de recevoir le don si attendu qu’il semble que c’est la dernière solution possible que d’acheter un organe sur le marché noir. De l’autre coté, pensé que peut-être, aucune règle de salubrité et de protection n’auront été appliqué durant le processus  qui nous mène à l’opération est peut-être suffisant pour ne pas encourager  ce type de trafique. Ces solutions ne sont pas non plus accessibles à tous, car elles moyennent des sommes astronomiques. Seriez-vous capable de payer plusieurs dizaines de milliers de dollars, pour recevoir un organe. C’est en conclure, que ce n’est accessible que pour les plus fortunés. Pour notre part, nous ne pouvons pas trancher d’un côté plus que de l’autre, car si une de nous deux aurait besoin d’un don d’organes nous ne saurions quoi décider. Il y a autant de pour que de contre. Quel serait votre décision ?

La qualité et la sécurité des organes

Pour chaque pays, il existe tout un système de normes qui doivent être respecté, pour un transfert d’organes. Ces normes ont été établies pour la sécurité du donneur comme du receveur. Voici les normes principales qui nous intéressent pour l’Europe. Pour la protection et la qualité des organes, il est important que l’opération soit effectuée dans une clinique ou hôpital ayant l’organisation adéquat  pour ce faire. Un formulaire sur le donneur, long de 4 pages, doit être rempli avec toutes les informations médicales utiles pour la sécurité du receveur. Le transport doit s’effectuer selon des normes pour conserver l’organe et éliminer tout risque de contamination ou de perte.  La transplantation doit s’effectuer dans un centre de transplantation agrée par l’autorité nationale compétente qui détermine  les actions que le centre est autorisé à poser. Aussi, tout le personnel qui touche de près ou de loin au processus doivent  être qualifié et formé à ces fins. Si en Europe, il faut respecter autant de points pour la qualité et la sécurité des organes, c’est que c’est vraiment nécessaire.  Une transplantation n’est jamais à prendre à la légère, les risques sont énormes, c’est de notre vie qu’il en dépend.

Comme mentionné dans l’article "le temps est long", il peut parfois nous sembler que c’est une question de survie que de se tourner vers le commerce illégale. Par contre, seriez-vous près à mettre votre vie dans les mains d’un trafiquant? Qu’est-ce que vous prouve que l’organe provient de quelqu’un en santé ou de quelqu’un qui est réellement compatible avec vous? Rien, on parle d’un trafiquant à même titre que celui de cocaïne ou tous autres produits illégaux. D’après nous, il est illogique de mètre sa vie et sa confiance dans les mains de criminels. Il n’y a pas que la provenance des organes, puisque c’est illégal et condamné par beaucoup de pays, ce sont des opérations clandestines. L’opération ne peut donc pas être effectuer dans un centre de transplantation, c’est souvent fait dans des maisons adapter pour ce type d’opération, mais il est impossible qu’ils disposent de tout l’équipement nécessaire à ce type de transplantation.

Le temps est long


Pour beaucoup de gens au pays le temps est compté, chaque jour, chaque heure, chaque seconde. C’est trop souvent le cas, pour les nombreux patients en attente sur les listes, pour un don d’organe. Les listes sont très longues et les donneurs se font rares ou ne sont souvent pas admissible, il ne faut pas être trop gros, pas malade, il faut être compatible et  il faut être décédé depuis un temps maximum… Bref, il y a énormément de conditions à remplir pour qu’un organe puisse être transplanté et une fois que c’est fait, rien ne garanti que ça va marcher.  Si l’on vous offrait de passer devant la liste d’attente, moyennant 100 000$, en allant en Inde ou ailleurs, et que quelqu’un vous rendrait le processus beaucoup plus facile, que diriez-vous ? Surtout si vous saviez que la personne de qui provient le don à besoin de l’argent et qu’il aurait en retour.  Selon Frank Markel, du Réseau Trillium pour le don de vie, une personne tous les 3 jours décède, en attente d’un don d’organe. De plus, seulement en Ontario, il y aurait présentement environ 1650 personnes qui sont en attente pour recevoir une greffe. L’attente peut être interminable.  Si nous regardons la chose sous cette angle seulement, ça nous donne envi de croire que ça pourrait presque être une bonne chose.